mercredi 10 décembre 2014

Le bruit des livres par Nathalie Tiffeneau


Le confident, Hélène Grémillon



Au milieu des mots de condoléances qu’elle reçoit à la mort de sa mère, Camille découvre une étrange lettre envoyée par un expéditeur inconnu. Elle croit à une erreur mais, les semaines suivantes, une nouvelle lettre arrive, tissant le roman de deux amours impossibles, de quatre destins brisés. Peu à peu, Camille comprend que cette correspondance recèle un terrible secret qui la concerne.

Machination diabolique sur fond de seconde guerre mondiale, ce roman mêle récit historique et suspens psychologique dans un scénario implacable .


Hélène Grémillon a 32 ans . Le confident est son premier roman .




Katsushika Hokusai






 Katsushika Hokusai  (1760-1849), surtout connu pour sa fameuse Grande Vague, fut l’un des plus grands peintres, illustrateurs et créateurs d’estampes japonais. L’ampleur et la diversité de son oeuvre font naître la sensation, à qui la découvre, qu’il est en présence de plusieurs artistes. Six chapitres, abordant chacun une période de la vie de Hokusai – période Shunrô, Sori, Hokusai, Taito, Iitsu et Manji – à travers ses œuvres les plus représentatives, constituent le coeur de cet ouvrage. Celui-ci est précédé des voix de sept éminents spécialistes qui présentent le fruit de leurs recherches sur Hokusai dans des domaines spécifiques tels que l’art du Suminoro et les cercles littéraires, l’art érotique ou encore la correspondance de Hokusai.

 Exposition Hokusai du 01 Octobre 2014 au 18 Janvier 2015, dans les Galeries nationales du GrandPalais.

Katsushika Hokusai né le 31 octobre 1760 (date non assurée) 
 mort le 10 mai 1849, connu plus simplement sous le nom de Hokusai  est ou de son surnom de « Vieux Fou de la peinture ».
Peintre, dessinateur spécialiste de l’ukiyo-e, graveur et auteur d'écrits populaires japonais. Son oeuvre influença de nombreux artistes européens, en particulier Gauguin, Vincent van Gogh, Claude Monet et Alfred Sisley
voire le mouvement artistique appelé japonisme.

Il signa parfois ses travaux, à partir de 1800, par la formule Gakyōjin, « le Fou de dessin ». Il est parfois vu comme le père du manga, mot qu'il a inventé et qui signifie à peu près 
« esquisse spontanée »